Le samedi 11 décembre, nous sommes allés au cinéma avec toute ma classe pour voir le dessin animé " Kirikou et la sorcière ".
Il était une fois, un petit
garçon qui sortait du ventre de sa mère et qui lui dit :
- Est-ce que je peux me laver ?
- Oui, dit-elle.
- Où sont mes frères, mes soeurs
et mon père ?
- La méchante sorcière les a transformés
en fétiches.
- Où vas-tu ? dit Kirikou à son
oncle.
- Je vais voir la sorcière.
- Pourquoi la sorcière est-elle méchante
?
- Je ne sais pas.
- Je vais prendre le chapeau du grand-père,
dit Kirikou à son oncle.
Kirikou monte sur le dos de son oncle
pour aller chez la sorcière. La sorcière a demandé
à l'oncle de lui donner le chapeau.
Les enfants du village voient un bateau
qui appartient à la sorcière et ils montent dedans. Le bateau
prend de la vitesse et les enfants prennent peur. Kirikou prend son épée
et perce le bateau de la méchante sorcière. Le bateau coule
et les petits sont sauvés.
Les mêmes enfants montent dans un arbre envoûté par la sorcière. Kirikou leur demande de descendre, mais ils ne veulent pas. Les branches se referment comme un filet et ils se retrouvent prisonniers. Kirikou prend une machette et coupe le tronc de l'arbre. Les enfants sont à nouveau sauvés et peuvent rentrer au village où on entend partout : "On n'a plus d'eau à cause de la sorcière !"
Kirikou est allé dans un petit
trou et il a pris une épée pour tuer la bête qui buvait
toute l'eau. Et l'eau est revenue au village. Kirikou s'est noyé
et tout le monde s'est mis à chanter. Tout à coup, il se
réveille et tout le monde est content.
Kirikou quitte sa mère pour
aller rejoindre son grand-père derrière la falaise. Pour
ne pas être vu, il se déguise en oiseau et un autre oiseau
l'emmène derrière la falaise. Il rencontre aussi un phacochère
: il a peur. Il réussit à s'échapper par une porte
rouge. Kirikou est accueilli par des toucans qui lui chantent sa chanson
:
" Kirikou est petit,
Mais c'est mon ami.
Kirikou n'est pas grand,
Mais il est voyant."
Kirikou parle avec son grand-père
:
- Pourquoi Karaba la sorcière est-elle
méchante ?
- Elle souffre, elle a une épine empoisonnée
dans la colonne vertébrale. Et le grand-père lui raconte
toute l'histoire de la sorcière Karaba.
Kirikou repart et souhaite tout d'abord
récupérer les bijoux volés par la sorcière.
Il passe par un trou et réussit à récupérer
les bijoux. Il est poursuivi par un serpent, ami de Karaba. Il réussit
à s'échapper et rejoint la sorcière qui veut reprendre
les bijoux.
Kirikou saute sur le dos de Karaba
et lui enlève l'épine. La sorcière se met à
crier, puis se calme. Elle semble avoir perdu tous ses pouvoirs.
- Veux-tu m'épouser, Karaba ? Donne-moi
un baiser.
Après le baiser, Kirikou se met à grandir
et Karaba accepte de se marier.
Ils rejoignent tous deux le village de Kirikou. Le grand-père revient avec tous les hommes du village et chacun retrouve sa famille. Tout le monde est content et ils fêtent le mariage de Kirikou et de Karaba la sorcière.
Elodie M.
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Les poissons magiques
Il était une fois un pauvre pêcheur qui revenait de la pêche.
Il avait pris cinq truites, trois poissons-chat et puis dans le fond de
son sac un poisson qu'il n'avait jamais vu, doré, argenté
et violet, il était magnifique. Il mangea les huit premiers et il
alla acheter un aquarium pour le dernier.
Il mit très vite le poisson dedans. Il alla se coucher en espérant que personne ne le lui vole. La nuit passa comme un éclair. Il se réveilla, descendit les escaliers : le poisson était toujours là. Sur la table, il y avait quatre choses : une bourse d'or, deux messages et un dessin de son poisson. Le premier message disait qu'il trouvera toujours trois choses sur la table. Le deuxième message disait qu'il devait continuer de pêcher.
Il alla en ville pour acheter un livre sur la magie et la pêche. Il retourna chez lui. Il ouvrit le livre et vit comme titre du premier épisode : "Les poissons magiques". Il put lire que son poisson rapportait toujours trois choses et qu'il parlait. Il vérifia que c'était bien son poisson. Oui, c'était bien lui. Il prit sa barque et retourna pêcher.
Il prit dix truites, cinq carpes dont une très étrange. Elle avait la queue en tire-bouchon, des nageoires comme des mains et des yeux comme des antennes. Il mangea les dix et garda les quatre autres pour le lendemain. Il alla de nouveau acheter un aquarium et mit la carpe magique dedans. Il regarda dans le livre : ce poisson pourrait lui rapporter une bourse d'argent.
Il décida d'aller au restaurant pour fêter ses deux poissons magiques. Il s'assit à côté d'une jeune fille et lui proposa une danse. Elle accepta et ils dansèrent jusqu'à dix heures du soir. Le pêcheur s'en alla. Mais en cours de route, il rencontra Madame Ninon , elle était terrible, elle criait toute la nuit et hurlait toute la journée.
Le lendemain matin,
le pêcheur vit la bourse d'or, la bourse d'argent et toutes les autres
choses. Il retourna pêcher. Il ne prit qu'une truite. Il retourna
chez lui manger ses cinq poissons. Il alla en ville acheter de la nourriture
pour poissons magiques. En cours de route, il rencontra Monsieur Rotchild
qui lui dit :
- C'est mon jour, j'ai eu ma paye
comme d'habitude : cinquante mille francs. Tenez, je vous donne cinq mille
francs. Le pêcheur n'avait que cinq cents francs par mois, alors
il n'en croyait pas ses yeux. Cinq cents mètres plus loin, il rencontra
le plus riche de la ville qui lui donna mille francs.
Le pauvre pêcheur est maintenant l'homme le plus riche de France. Il a épousé la jeune fille, ils ont eu beaucoup d'enfants. Et tous les pêcheurs ainsi que toutes les pêcheuses ont eu beaucoup de poissons magiques.
Paco R.
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Il était une fois quatre vilaines sorcières. En fait, elles étaient cinq, mais la cinquième était très gentille : c'est pour ça que les quatre autres ne l'aimaient pas. Elle s'appelait Crapautine, mais tout le monde l'appelait la gentille sorcière.
Un jour, elle alla au ruisseau pour prendre de l'eau mais elle tomba. L'une des quatre sorcières avait mis dans l'eau une potion magique qui transformait en crapaud mais l'effet ne dura que quelques minutes.
Elle prit donc de l'eau à la fontaine qui était dans le bois voisin puis elle rentra. Arrivée chez elle, elle fit la cuisine mais les quatre sorcières ne voulurent pas manger sa soupe. Mais à la fin elles la mangèrent quand même car elles savaient que sinon elles ne mangeraient pas.
Quand vint l'heure de se coucher, Crapautine en avait assez de ne pas être aimée par ses soeurs et elle décida de s'échapper. Au matin, ses soeurs étaient étonnées mais contentes, sauf la troisième qui était triste, mais elle n'avait jamais dit à Crapautine qu'elle l'aimait et elle faisait semblant de ne pas l'aimer.
Alors, à son tour, elle partit. Crapautine était déjà bien loin mais l'Affreuse (c'était le nom de sa soeur) la retrouva en train de pleurer. L'Affreuse lui dit de rentrer mais elle n'avait pas envie.
Alors elles se construisirent
une jolie maison et elles furent très heureuses sans leurs soeurs.
Bertille Leflamand
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Il était une fois, dans le Far West, un garçon nommé Billy. Il rêvait de devenir un voleur. Il dévalisait des banques et attaquait des diligences pleines d’or. Il grandit et décida de s’appeler “Billy the Kid”. C’était le pire des voleurs.
Un jour, il prit une diligence pour aller à Chicago. Le cocher le conduisit à la “ville fantôme”. Cette ville fantôme avait un shérif terrible : nous l’appelions le “Marshal” du coin. Le shérif s’avança, ses deux pistolets en mains, en disant : “Mains en l’air, Billy, tu es cerné !” Billy s’avança pour aller en prison. Mais, tout à coup, Billy prit ses pistolets et tira sur le shérif en disant : “Et un shérif de moins !” Le shérif était mort. Il était mort, tué par Billy the Kid !...
Mais un autre shérif arriva, tout aussi terrible. Billy avait eu tellement peur qu’il s’en alla plusieurs jours. Un jour, il en eut assez d’avoir si peur de ce nouveau shérif et il décida d’aller lui régler son compte.
Il s’approcha du nouveau marshal et lui dit : “Demain à quatre heures, je vous prends en duel !” Le lendemain à quatre heures, Billy attendit longtemps mais repartit en lui laissant un message : “Demain, même heure !...”
Cette fois, les deux hommes étaient là. Billy fit vingt pas et l’autre aussi. Enfin, ils dégainèrent : le shérif fut touché au bras et Billy... à la tête ! Il avait enfin trouvé plus fort que lui... Il en était mort.
Paco R.
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Tout a commencé quand ma sœur Laura a vomi sur le tapis tout neuf chez mes grands-parents, ma grand-mère n'était pas là : elle était partie faire des courses. Par contre, mon grand-père était là, et il était de mauvaise humeur.
Enfin, tout allait mal. Après
avoir tout nettoyé, nous sommes allées chez le docteur. Il
y avait beaucoup de monde et cela ne m'amusait pas du tout. J'ai lu trois
histoires au moins. Après avoir attendu une heure et demie, nous
sommes rentrées dans le cabinet du docteur Pigeon. Nous lui avons
tout expliqué. Il proclama :
- C'est Sûrement la gastro !
Au même moment, elle eut envie
de vomir... malheur ! Il y en avait partout sur le bureau du docteur. Il
nous a mises dehors, fou furieux :
- Dehors, je ne veux plus vous voir
ici, c'est compris ! cria le docteur.
Nous sommes parties en courant. Laura
avait tellement peur et mal au ventre qu'elle courut le plus vite possible.
Arrivées à la voiture,
nous sommes parties en nous jurant de ne plus jamais revenir.
Marie M.
Alors que je
partais à l'école avec Jean, on passa dans une rue que je
ne connaissais pas. Je n'avais que six ans et Jean en avait huit. Lui était
déjà passé par là, la veille au matin et il
me dit :
- Fais attention, il y a un chien ici et il paraît
qu'il est enragé !
- Qu'est-ce que tu dis ? On t'a raconté des mensonges
!
- Tiens, le voilà !
Je m'approchai
de la barrière et fis un bond en arrière, il avait montré
ses dents. Il grogna de plus en plus et ses grognements devinrent des aboiements.
Jean et moi étions terrifiés. Tout à coup, le chien
recula de trois mètres, courut vers nous et sauta. Nous hurlâmes
de peur et nous mîmes à courir très vite. Le chien
enragé courait deux fois plus vite que nous et il gagnait rapidement
du terrain. Nous courûmes plus vite encore. Enfin, nous arrivâmes
dans le petit village de Bourgeville. Le chien nous suivait toujours et
je proposai à Jean de venir chez moi. Jean accepta.
J'ouvris la
barrière et la porte d'entrée, le chien était toujours
là ! Il sauta la barrière et nous entrâmes. Je vis
que la fenêtre de ma chambre était ouverte. Je dis à
Jean :
- Allons dans ma chambre !
Le chien sautait pour essayer de rentrer dans la chambre.
Je réusssis à fermer la porte. Jean et moi, nous nous assîmes
sur mon lit.
Trois minutes
plus tard, nous jetâmes un oeil sur la pelouse, il n'y avait plus
de chien ... Ouf !
Je me retournai vers Jean : - Tout est bien qui finit
bien !
Brian T.
- Salut Astraca, alors, ils sont comment
les Terriens ?
- Ils sont atroces, ils m'ont mis
en carré alors que j'étais tout rond !
- Je t'avais dit de ne pas aller sur
Terre !
- Je n'y retournerai plus jamais !
- Ça m'étonnerait beaucoup
!
- Ah bon, pourquoi ?
- Car tu as oublié tous tes
amis !
- Oh non !
- Eh si !
- Eh bien, tu iras sur Terre à
ma place. Salut !
- Alors ça, jamais !... Mais
où est-il passé encore ?...
Bertille L.
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Il était une fois un vieux robot
dans un placard où personne n'osait entrer. Une fois, la clenche
du placard bougea, bougea et la porte s'ouvrit d'un seul coup et le vieux
robot tomba par
terre. Il se cassa en mille morceaux et la clenche n'a
plus jamais bougé.
Dimitri
Il était une fois une
princesse et un prince qui aimaient la
marche. Un jour, ils allèrent marcher dans la
forêt pour ramasser des glands. Ils arrivèrent à un
endroit où il y avait un chemin à droite et un chemin à
gauche et ils ne surent lequel prendre.
Alors, ils décidèrent
de prendre le chemin de droite. Ils
aperçurent une étrange bête et ils
firent demi tour. Arrivés au bout du chemin, ils ne virent plus
le chemin de gauche. Ils se
demandèrent donc où il était
passé. Le prince dit à la princesse que c’était de
la magie. La princesse ne le crut pas. Alors, ils voulurent rentrer chez
eux.
Sur le chemin du retour, ils
rencontrèrent une fée qui leur
demanda pourquoi ils n’avaient pas de glands dans le
panier. La princesse ne sut que répondre et raconta l’histoire
des deux chemins. Et ils rentrèrent chez eux pour de bon.
Manon M.
Thomas va au magasin, il achète trois poissons rouges et un chat. Il ne veut pas de chien car il mangerait son chat.
Boule, le chat, est si malin qu’il mange les poissons et déchire tous les pulls que Maman venait juste d’acheter.
Le lendemain, Thomas ne retrouve que
les arêtes dans l’aquarium. Il décide donc de revendre le
chat à son voisin qui
aime beaucoup ce genre d’animal.
Thomas, lui aussi, est très malin : il veut jouer un tour à Jean qui a quinze poissons.
Mais Jean compte bien les protéger du fameux chat et ne veut surtout pas les montrer à Thomas.
Aujourd'hui, lundi 10 avril, des gendarmes sont venus à l'ecole pour nous apprendre le code de la route.
Nous avons d'abord regardé une cassette vidéo sur les dangers de la route et après, nous avons rempli un questionnaire. Tout ceci a duré environ une heure.
Après la récréation,
nous nous sommes dirigés vers la piste
routière où nous attendait un autre gendarme.
Nous avons fait
trois groupes : quelques élèves devaient
circuler sur la piste à
vélo et les deux autres groupes observaient.
Quand nous étions sur la piste, nous devions faire très attention aux panneaux et ne pas rouler trop vite. Comme Naïm et Annie avaient un peu de mal avec leurs vélos, ils se sont entraînés avec Monsieur Cornet. Après, tout s'est très bien passé, ils ont pris de l'assurance.
Tout le monde a eu son permis, sauf
Adrien qui était absent.
Vivement l'année prochaine qu'on recommence et...
merci
Messieurs les gendarmes !
Bertille et Léa S.